Gérer le boom démographique
C'est ainsi que je vous propose quelques dossiers thématiques ainsi que des suggestions et propositions en vue d'améliorer la qualité de vie des Schaerbeekois dans un futur proche.
C'est ainsi que je vous propose quelques dossiers thématiques ainsi que des suggestions et propositions en vue d'améliorer la qualité de vie des Schaerbeekois dans un futur proche.
Le niveau de pouvoir ou la gestion du boom démographique est un réel challenge est bien celui des pouvoirs locaux. Schaerbeek a
besoin d'investir dans de nouvelles infrastructures et de trouver des solutions
de manière créative en vue d'absorber la croissance de ses habitants. Pour comprendre
ses citoyens, il faut analyser ces besoins de manière à pouvoir gérer le boom
démographique, la mobilité, aménager l'espace public, relancer les noyaux commerciaux en difficultés et créer des activités pour tous.
Certains projets nécessitent des solutions provisoires dans l'attente de leur réalisation à long terme, afin de garantir aux différents quartiers une accessibilité aux transports. L'un des défis consistera à veiller à intégrer ces projets dans un politique global et la recherche de solutions novatrice.
Les infrastructures
existantes et les rénovations de certaines étaient nécessaires et ont le mérite
d'exister. Des grands chantiers sont enfin élaborés, comme l'augmentation du
nombre de place dans les écoles ou palier à la demande de mobilité avec la
liaison du Metro 3. La construction du nouveau tronçon reliant la gare du
Nord à Schaerbeek à la station Bordet à Evere mais le métro ne sera pas
prêt avant 2028. Entretemps, il ne faut attendre son arrivée avant
d'entreprendre des mesures à l'échelle locale pour améliorer le quotidien de
ses habitants. La liaison de métro ne doit pas signifier qu'on ne doit pas
investir maintenant en faveur de la sécurité routière par exemple. L'aménagement de plaine de jeux doit également prendre en compte, dans une commune aussi dense, le nombre de balançoires, tobbogans, bancs et autre mobilier urbain. La fréquences des réparations doit augmenter. L'accessibilité de la plaine de jeux du parc Josaphat est excellente. Il ne manque plus que faire la file pour glisser et se balancer.
Les projets de rénovation urbaine avec, notamment, le développement des sites Josaphat et Reyers, posent la question l’accompagnement de ces opérations, entre autres en termes d’afflux de nouveaux habitants. Il s’agit notamment de faire bénéficier ces développements et les infrastructures qui les accompagnent, d’une manière ou d’une autre, non seulement aux nouveaux habitants mais aussi à ceux qui sont déjà en place. Il s’agit aussi d’anticiper la hausse du foncier accompagnant ces opérations pour éviter une précarisation accrue d’une frange significative de la population.
Sans avoir de boule de cristal, je suis persuadée que certains quatiers seront victimes de gentrification, ce phénomène urbain par lequel des personnes plus aisées s'approprient des rues initialement occupées par des habitants ou usagers moins favorisés, transformant ainsi le profil économique et social du quartier.
Gérer le boom démographique
Schaerbeek s’étend sur 8,1
km², soit 5 % du territoire régional. La densité de population à Schaerbeek (16
097 habitants/ km²) avec des quartiers de plus de 18.000
habitants. On y trouve certains noyaux commerciaux dynamiques
et, par endroit, des marques de son passé industriel. La commune se caractérise
par un mélange de quartiers multiculturels, de quartiers populaires et de
quartiers plus nantis. En 2015, la commune de Schaerbeek compte
officiellement 131 030 habitants, soit 11% de la population régionale.
Schaerbeek est l’une des trois communes bruxelloises (avec la Ville de
Bruxelles et Anderlecht) avec une population qui dépasse les 100 000 habitants.
Le bas de
Schaerbeek
Il est située dans
la première couronne entre le canal et la ligne de partage des eaux du
Molenbeek et du Maelbeek qui longe en amont la chaussée de Haecht. Le bas de
Schaerbeek se compose de trois quartiers populaires : le Quartier Brabant et
Chaussée de Haecht, très densément peuplés) ainsi que le Quartier Nord, moins
densément peuplé et abritant la gare de Bruxelles-Nord, ainsi que des hautes
tours de bureaux et quelques espaces verts (dont le parc Gaucheret). L’espace
compris entre Saint-Josse et le parc Josaphat était le premier à s’urbaniser
autour de l’ancien noyau villageois, avec en son centre l’église Saint-Servais.
Cette zone était donc déjà largement urbanisée dans l’entre-deux-guerres.
Une grande partie
se caractérise par une présence importante de personnes de nationalité étrangère.
C’est au cours de l’entre-deux-guerres que l’on constate les premières arrivées
de populations immigrées. Après la Seconde Guerre mondiale, le nombre
d’immigrés (en grande partie issus du bassin méditerranéen à ce moment-là)
augmente fortement, en particulier dans certains quartiers qui sont
progressivement désertés par la population belge.
Les rues sont très
animées, notamment la rue de Brabant – une rue commerçante très fréquentée et
cosmopolite – ainsi que les abords de la place Liedts et de la chaussée de
Haecht. Cette partie de la commune attire également les étudiants de
l’enseignement secondaire et de l’enseignement supérieur artistique fréquentant
l’école Sint-Lukas/LUCA.
Cette partie de la
commune abrite un parc de logements varié comptant de nombreuses habitations
plurifamiliales et beaucoup de grands immeubles. Depuis les expropriations
réalisées dans les années 1960 dans le cadre du plan Manhattan et la démolition
du vieux quartier qui s’en est suivie, le Quartier Nord est dominé par les
tours de bureaux et attire chaque jour de nombreux navetteurs. La densité de
bureaux y est en effet très élevée.
Depuis le début
des années 1990, de nombreux projets urbains ont été lancés, notamment dans le
cadre des contrats de quartier (associant commune et Région) ou via des fonds
fédéraux (Beliris ou Politique des grandes villes). Entre 1997 et 2015, 10
contrats de quartier ont été mis en œuvre à Schaerbeek, dont 9 dans les
quartiers de Schaerbeek et de la gare de Schaerbeek, et un dans le quartier
Helmet. Dans le cadre des contrats de quartier, des investissements ont été
réalisés dans l’espace public, les infrastructures sociales, le logement et,
dans une moindre mesure, dans le tissu économique et social.
Sous l’effet de la
pression démographique, le nombre de logements a augmenté dans le bas de
Schaerbeek, notamment dans le cadre de plusieurs projets de constructions et de
rénovations (privés ou publics).
De manière
générale, cette partie de la commune connaît toujours de nombreuses
transformations d’habitations unifamiliales et reconversions, en particulier
dans le Quartier Brabant. De nouveaux logements pour étudiants sont par
ailleurs développés autour de l’école supérieure d’art. Notons que dans la rue
d’Aerschot, une dizaine d’immeubles d’angle délabrés ont été rénovés.
En termes
d’infrastructures publiques, des investissements ont été consentis ces
dernières années dans cette partie de Schaerbeek : une nouvelle maison de repos
et deux nouveaux centres culturels ont vu le jour, sans oublier la rénovation
et la construction d’écoles et d’infrastructures sportives.
Dans le domaine de
la mobilité et de l’espace public, des investissements ont été mobilisés pour
le réaménagement des espaces publics et des nœuds de mobilité locaux (place
Liedts, place Gaucheret, rue Rogier et rue Gaillait, construction d’une
passerelle piétonne à la place verboeckhoven, …). Pour les prochaines années,
la réalisation de la ligne de métro Nord est notamment prévue - qui devra
améliorer la liaison entre le centre de la ville (place Rogier) et l’aéroport
en desservant également la gare de Bordet - ainsi que la poursuite de
l’aménagement de l’arrêt RER de la gare de Schaerbeek.
Bien que la plus
grande partie de la zone stratégique de Schaerbeek-Formation ne soit pas située
sur le territoire de la commune, le redéveloppement mixte de cette zone – qui
attirera de nouvelles activités économiques et de nouveaux habitants – aura un
impact important sur les quartiers environnants de Schaerbeek.
Le haut de
Schaerbeek
Il s’est urbanisé
dans les années 1930 et après la Seconde Guerre mondiale. Cette partie est
composée par des quartiers mixtes et plus nantis5 abritant essentiellement des
habitations unifamiliales et des petits immeubles de rapport. La densité du
bâti et celle de population y sont généralement inférieures à celles observées
dans le bas de Schaerbeek, à l’exception du quartier Dailly. Les espaces verts
y sont relativement présents et la plupart des quartiers abritent des bâtiments
de l’architecture Art Nouveau et Art Déco.
Dans cette partie
de la commune, ces dernières années, la construction de logements a été moins
intense que dans le bas de Schaerbeek, excepté quelques projets de grande
envergure, pour la plupart privés, comme les projets Media Gardens le long de
la chaussée de Louvain (282 logements de taille moyenne), Lambermont Gardens
dans le quartier Terdelt et la reconversion de la caserne Dailly (89
appartements de luxe). Les pouvoirs publics ont investi dans la réalisation
d’une centaine de logements dans le quartier Reyers. De nombreux
investissements ont également été consentis en faveur des infrastructures
publiques, dont une nouvelle caserne de pompiers à l’hôpital Paul Brien, la
construction de l’un des plus grands complexes sportifs de la Région
bruxelloise, la rénovation du stade et de la piscine ainsi que la rénovation et
la construction d’écoles et de crèches. Dans le cadre de la mobilité, il a été
notamment procédé au réaménagement du boulevard Lambermont et de l’avenue Louis
Bertrand, un nouveau tunnel ferroviaire entre Schuman et Josaphat a été
construit, et le quartier Terdelt a été transformé en zone résidentielle.
Dans le haut de
Schaerbeek, le redéveloppement à grande échelle de deux sites est prévu dans
les prochaines années : le développement du site ferroviaire Josaphat,
récemment assaini (+1 800 logements, espace vert, bureaux, écoles …) et la
rénovation de l’espace Reyers ‘RTBF-VRT’ (quartier mixte avec un pôle média
important). Les travaux ont commencé par la démolition du viaduc Reyers, qui
devrait permettre d’améliorer la jonction entre Schaerbeek et l’autoroute de
Liège. Dans le domaine de la mobilité, le réaménagement de la place Meiser et
de la chaussée de Louvain se font attendre.
De Tous les âges
La proportion de
jeunes dans la population est particulièrement importante à Schaerbeek : un peu
plus d’un habitant sur quatre a moins de 18 ans. À l’inverse, les personnes
âgées de 65 ans et plus (un habitant sur dix) sont moins représentées qu’à
l’échelle de la Région. Schaerbeek est l’une des communes les plus jeunes de la
Région, avec un âge moyen de 34,7 ans en 2015. Les jeunes sont plus présents
dans les quartiers du bas de Schaerbeek, le quartier de la gare et le quartier
Helmet. Les personnes âgées sont quant à elles plus représentées dans le haut
de Schaerbeek. La part des personnes isolées au sein des ménages (42 %) est
inférieure à celle de la Région, et nettement plus importante dans le sud et
l’est de la commune. La part des familles avec enfants, parmi lesquelles on
retrouve une proportion importante de ménages de grande taille, est supérieure
à la moyenne régionale. Ces ménages sont plus présents dans les quartiers
situés à l’ouest et au nord de la commune.
Plus d’un quart
des enfants naissent dans des ménages sans revenu du travail à Schaerbeek.
Malgré une certaine augmentation sur les 10 dernières années, le taux de
couverture en milieux d’accueil de la petite enfance reste bas à Schaerbeek,
avec à peine une place pour quatre enfants (de moins de 3 ans). Les différences
au sein de la commune sont très importantes, le taux de couverture étant plus
élevé dans les quartiers situés à l’est et à l’ouest du parc Josaphat et dans
l’extrémité sud de la commune que dans le bas de Schaerbeek où il est
particulièrement faible, là où la présence de jeunes enfants et de familles
précarisées est la plus importante.
Un rajeunissement
important est enregistré dans la commune, qui compte de nombreuses familles
avec enfants, contribuant au rajeunissement de la structure d’âge de la
commune. Cette situation implique de nombreux défis en termes d’infrastructure
publique, d’offre de logements adaptés, mais également d’offre de milieux
d’accueil pour la petite enfance, d’enseignement et de formation.
De toutes nationalités
Les personnes de nationalité étrangère représentent 35 % de la population à Schaerbeek. En comparaison avec la Région, les ressortissants des nouveaux États membres de l’Union européenne, de Turquie et – dans une moindre mesure – d’Afrique sont surreprésentés au sein de la population de nationalité étrangère dans la commune. En 2015, les Marocains restent les plus représentés, suivis des Bulgares, des Français, des Roumains, des Polonais et des Turcs. Avec Saint-Josse-ten-Noode, l’est de Schaerbeek (le long de la chaussée de Haecht) forme le centre historique de la communauté turque en Région bruxelloise. Entre 2005 et 2015, le nombre de Marocains et de Turcs a diminué, tandis que le nombre de ressortissants des pays ayant récemment adhéré à l’Union européenne (Bulgarie, Roumanie et Pologne) a connu une forte augmentation dans la commune. Enfin, les nombres de Français, d’Espagnols et de Guinéens sont également en hausse à Schaerbeek.
Les personnes de nationalité étrangère représentent 35 % de la population à Schaerbeek. En comparaison avec la Région, les ressortissants des nouveaux États membres de l’Union européenne, de Turquie et – dans une moindre mesure – d’Afrique sont surreprésentés au sein de la population de nationalité étrangère dans la commune. En 2015, les Marocains restent les plus représentés, suivis des Bulgares, des Français, des Roumains, des Polonais et des Turcs. Avec Saint-Josse-ten-Noode, l’est de Schaerbeek (le long de la chaussée de Haecht) forme le centre historique de la communauté turque en Région bruxelloise. Entre 2005 et 2015, le nombre de Marocains et de Turcs a diminué, tandis que le nombre de ressortissants des pays ayant récemment adhéré à l’Union européenne (Bulgarie, Roumanie et Pologne) a connu une forte augmentation dans la commune. Enfin, les nombres de Français, d’Espagnols et de Guinéens sont également en hausse à Schaerbeek.
L'emploi
Le taux de chômage à Schaerbeek (un peu plus d’un quart de la population active) est supérieur à la moyenne régionale, tant pour les hommes que pour les femmes. Parmi les jeunes (15-24 ans), il est de 40 %. Il existe également d’importantes disparités entre les quartiers, le chômage étant plus répandu dans le bas de la commune (à l’ouest et au nord du parc Josaphat) qu’au sud et à l’est. Notons que le taux d’emploi est plus bas à Schaerbeek qu’à l’échelle régionale, en particulier pour les femmes. En outre, la part des femmes travaillant à temps partiel est supérieure à la moyenne régionale.
Le taux de chômage à Schaerbeek (un peu plus d’un quart de la population active) est supérieur à la moyenne régionale, tant pour les hommes que pour les femmes. Parmi les jeunes (15-24 ans), il est de 40 %. Il existe également d’importantes disparités entre les quartiers, le chômage étant plus répandu dans le bas de la commune (à l’ouest et au nord du parc Josaphat) qu’au sud et à l’est. Notons que le taux d’emploi est plus bas à Schaerbeek qu’à l’échelle régionale, en particulier pour les femmes. En outre, la part des femmes travaillant à temps partiel est supérieure à la moyenne régionale.
Une frange
importante de la population se trouve dans une situation de précarité, en
particulier dans la partie nord-ouest de la commune. Cette population est plus
fréquemment touchée par le chômage et occupe des emplois moins rémunérés. La
question de la qualification se pose problème de diverses manières. En effet, le
profil moins qualifié et de plus en plus inadapté au marché de l’emploi
bruxellois tend à se reproduire de génération en génération. Il est certain que
les jeunes font aujourd’hui de plus longues études, mais du fait de l’élévation
généralisée des niveaux scolaires, l’écart avec les mieux formés reste
important. Outre la question de l’orientation et des niveaux de qualification,
d’autres facteurs comme des problèmes de maîtrise du français et du néerlandais
ou encore de discrimination à l’embauche peuvent contribuer à l’insertion
difficile des jeunes sur le marché de l’emploi.
Le logement
Près de la moitié
des logements ont été construits avant 1919 (une proportion plus élevée qu’à
l’échelle de la Région).
On recense 4
logements sociaux pour 100 ménages à Schaerbeek, une proportion plus faible
qu’à l’échelle de la Région (7 pour 100). Cependant, certains quartiers
présentent un ratio plus élevé de logements sociaux (plus de 20 %), comme
Reyers, Quartier Nord et Terdelt, la seule cité-jardin de la commune.
Schaerbeek compte au total 2 255 logements sociaux, parmi lesquels on retrouve
à la fois des habitations unifamiliales et des immeubles d’appartements. Ces
logements se retrouvent en grande concentration dans le Quartier des Fleurs et
la Cité de l’Olivier (qui a servi de modèle pour la création de la Cité Hellemans
dans les Marolles), avec ses maisons jumelles
La précarité
financière d’une partie de la population se traduit également dans ses conditions
de logement, particulièrement dans les quartiers du nord-ouest où le bâti est
ancien et ce, tant dans le parc résidentiel privé que social. En outre, le parc
de logements sociaux est très limité à Schaerbeek alors que la part de ménages
inscrits pour une demande de logement social est importante.
Les bâtiments, de
par leur âge, ne rencontrent pas facilement les normes actuelles, en
particulier dans le cas des maisons transformées en appartements. Ce parc
immobilier obsolète implique des coûts de maintenance élevés et la
concentration des groupes les plus vulnérables dans ce segment saturé du marché
de la location représente un enjeu important. Dans le sud de la commune, la
présence croissante des cadres internationaux, réinvestissant dans le patrimoine
attractif constitué par les maisons bourgeoises, n’est pas sans créer des
tensions sur le marché du logement.
Il apparaît que
61,5 % des logements à Schaerbeek sont occupés par des locataires (une
proportion identique à celle de la Région). De manière générale, en moyenne et
en gardant à l’esprit les différences de caractéristiques des logements, les
loyers et le prix de l’immobilier sont plus bas à Schaerbeek en comparaison
avec la situation au niveau de la Région. En 2013, le loyer mensuel moyen d’un
logement à deux chambres est de 662 euros, contre 732 euros en Région
bruxelloise. Le prix moyen des ventes d’appartements, flats et studios est de
185 900 d’euros, contre 224 800 euros à l’échelle régionale 9
Les projets de
rénovation urbaine avec, notamment, le développement des sites Josaphat et
Reyers, posent la question l’accompagnement de ces opérations, entre autres en
termes d’afflux de nouveaux habitants. Il s’agit notamment de faire bénéficier
ces développements et les infrastructures qui les accompagnent, d’une manière
ou d’une autre, non seulement aux nouveaux habitants mais aussi à ceux qui sont
déjà en place. Il s’agit aussi d’anticiper la hausse du foncier accompagnant
ces opérations pour éviter une précarisation accrue d’une frange significative
de la population. En outre, de nombreux travaux d’infrastructure à grande
échelle sont prévus dans le domaine de la mobilité au cours des prochaines
années à Schaerbeek (arrêt du RER, métro Nord, viaduc ferroviaire dans le
Quartier Nord). Certains de ces projets nécessiteront des solutions provisoires
dans l’attente de leur réalisation à long terme, afin de garantir aux
différents quartiers de la commune une accessibilité aux transports en commun.
L’un des défis consistera à veiller, en collaboration avec les nombreux
partenaires impliqués, à ce que ces projets s’intègrent dans une politique globale
; la recherche de solutions novatrices.
Source : C’est article est une synthèse de la
publication de perspective.brussels http://ibsa.brussels/fichiers/publications/bru19/Schaerbeek.pdf
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